Rapports

La synthèse par DEI France du forum mondial sur la justice pour les enfants et la privation de liberté – Novembre 2022

Forum Mauritanie
Les 8 et 9 novembre, à Nouakchott, en Mauritanie, DEI a organisé le Forum mondial sur la justice pour les enfants et la privation de liberté.
Cet événement avait pour but de rassembler les parties prenantes, de faire le point sur les progrès accomplis et de suivre la mise en œuvre des recommandations de l’Étude mondiale sur les enfants privés de liberté (2019).
Le Professeur Manfred Nowak, auteur principal de l’étude, était présent pour présenter les recommandations et encourager les prochaines étapes pour protéger les enfants de la privation de liberté.
Plus de 7 millions d’enfants par an sont privés de liberté dans le cadre de l’administration de la justice, détenus dans le cadre de la migration, détenus dans le cadre de conflits armés ou de contexte de sécurité nationale, ou vivant avec un parent en détention, ou encore dans le cadre de placement en institutions.
Trois ans après la présentation de l’étude mondiale à l’Assemblée générale des Nations Unis, cet événement a permis de faire le point sur les progrès et les défis.
Une mobilisation des gouvernements, des organisations de la société civile et des enfants eux-mêmes sera le seul moyen pour mettre fin à toutes les formes de privation de liberté.
DEI-France était présent au Forum avec la participation de son Président Jean-Luc Rongé et sa Secrétaire Générale Françoise Briand.
Ils vous proposent une synthèse des tables rondes de ces deux jours.

Le bulletin d’information de “Defence for Children International” sur les enfants en situation de migration – Eté 2022

Les articles de cette édition de l’Observateur des droits de l’enfant sont centrés sur le thème des enfants en situation de migration. Dans cette publication, vous lirez la parole d’expertes et d’experts des droits de l’enfant du monde entier, au sein du Mouvement de DEI et au-delà, sur différents aspects liés aux enfants dans la migration. Certains de ces articles présentent le travail effectué par les sections de DEI aux niveaux national et régional, partageant les succès et les bonnes pratiques pour protéger les enfants en situation de migration. D’autres articles
reflètent les questions transversales qui concernent les enfants en situation de migration, comme le genre, la pauvreté et la violence sexuelle.

Alex Kamarotos
Directeur exécutif
Défense des Enfants International

Le rapport de “Defence for Children International” sur les enfants en situation de conflits armés – Juillet 2022

enfants et conflits armés

“One day, our dreams will come back again” (Un jour, nos rêves redeviendront possibles)

Le rapport de “Defence for Children International” retrace les expériences des enfants dans les conflits armés en donnant un aperçu de leurs aspirations pour leur avenir.

Ce document encourage les États, les organisations de la société civile, les agences des Nations Unies et toutes les parties prenantes à continuer de plaider pour une participation accrue des enfants et des jeunes dans les espaces intergouvernementaux, y compris le système des Nations Unies, et pour l’engagement et la mobilisation continus des enfants partout dans le monde en tant que partenaires clés pour mettre fin à toutes les formes de violence.

Le rapport de “Médecins Sans Frontières” sur les mineurs non accompagnés en France – Juillet 2019

Médecins Sans Frontières

Ce rapport s’appuie sur les observations directes d’équipes de Médecins Sans Frontières déployées en France dans le cadre d’un programme auprès de jeunes étrangers et isolés sur le territoire français et sur les informations recueillies auprès des jeunes qu’elles accompagnent.

Ce document rassemble des informations qualitatives sous forme de témoignage et des données quantitatives collectées auprès de 787 jeunes étrangers accompagnés par les équipes du centre de Médecins Sans Frontières (MSF) de Pantin en Ile-de-France entre le 5 décembre 2017 et le 31 décembre 2018.

Le programme accompagne des adolescents se déclarant mineurs mais qui n’ont pas été pris en charge par les départements car leur minorité n’a pas été reconnue par l’administration française…